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 ○ look into my eyes, it's where my demons hide.

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Lazar Lupesco
Lazar Lupesco




EMILIE
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  • ALOHOMORA



      Grimoires aux secrets
      ‹ Relation :
      ‹ Goûts et dégoûts:

○ look into my eyes, it's where my demons hide.  Vide
MessageSujet: ○ look into my eyes, it's where my demons hide.    ○ look into my eyes, it's where my demons hide.  EmptyJeu 26 Déc - 20:05

LAZAR LUPESCO



‹ Nom :  Lupesco, un nom aux origines slaves, une famille réputée par la crainte qu'elle impose et l'argent qu'elle adore étaler à tout va. Famille ancestrale de sang-pur, il serait plutôt mauvais de tenter d'essayer d'ouvrir leurs esprits étriqués qui ne jurent que par leur propre sang.
‹ Prénom(s)  : Lazar, un prénom choisit par sa mère qui n'était autre celui de son premier amour. Vous avez dit étrange ?
‹ Âge : Lazar et Viktoria sont nés il y a de cela vingt et un ans par une glaciale nuit de décembre, au sein du manoir familial, situé dans la divine ville russe qu'est Moscou.
‹ statut civil: Un coeur de pierre n'est point capable d'aimer.
‹ nationalité: Les Lupesco peuvent se vanter de ne posséder que des origines russes, en plus de leur pureté du sang. Toutes ces exclusivités commencent d'ailleurs à leur monter à la tête.
‹ nature du sang: Pure, comment pourrait-il en être autrement ?

I / DE QUOI EST FAIT UN SORCIER ?
‹ don : Lazar possède le rare don faisant de lui un marcheur de rêves, c'est-à-dire qu'il a la possibilité de pénétrer les rêves d'autrui et de les modifier à sa guise. Ceci expliquant cela, Lazar est devenu un vrai cauchemar pour ses camarades. Plutôt ironique, non ?
‹ patronus: C'est sans grande surprise que la patronus du jeune Lupesco prend la forme d'un fier renard des neiges, témoin de la ruse et de la malice qui le caractérise.
‹ animal de compagnie : Bien qu'il ne l'avouera jamais, Lazar porte une affection sans bornes à son petit animal qui n'est autre qu'une minuscule chauve-souris grisâtre qui, soyons honnête, ne réponds pas à beaucoup de critères de beauté. Il l'a nommée Arianne, sans vraies raisons.
‹ option/cursus: De façon tout à fait cliché, Lazar suit également des études spécialisées dans le domaine des sciences occultes. Après tout, la noirceur naturelle de son âme ne lui laissait pas tellement d'autres possibilités.
‹ baguette: La baguette du jeune Lupesco fût taillée dans de l'acacia et renferme en son coeur un morceau de ventricule d'un dragon qui, paraît-il était l'un des plus forts (histoire probablement inventée par sa propre personne afin de glorifier son égo). Elle mesure vingt-sept centimètres et est de nature plutôt ridide.
‹ clubs : Lazar fait parti, sans grandes surprises, du club de la noirceur.
‹ traits de caractères: Mesquin, cruel, méfiant, taquin, machiavélique, calculateur, sournois, fourbe, intelligent, rusé, mauvais, rebelle, fidèle, ambitieux, charismatique, courageux, curieux, impatient, impulsif, froid, renfermé, négatif, vil, méchant.
‹ description brève des relations au sein de la famille: Les Lupesco sont une famille très soudée et Lazar entretient d'ailleurs d'excellentes relations avec tout ses aïeux. Mais pour lui, sa véritable famille porte les deux doux noms de Milena et Viktoria. Sa cadette et sa jumelle sont tout ce qui compte pour lui. Ils sont une seule et même âme séparée entre corps. C'est un trio de choc que nous avons là, un trio cruel et sans pitié qui en fait frémir bien plus d'un.



‹ opinion sur l'ouverture de la SIMES: Honnêtement, je ne vois pas pourquoi nous devrions accueillir les élèves d'autres pays, même sous le prétexte de la solidarité internationale, bla bla bla. Clairement, on je me fiche de tout ça. Je pense simplement qu'amener ces petits arriérés dans notre grand pays, c'est ouvrir la porte à un nouveau métissage du sang. Et puis, jamais ils ne pourront être des nôtres. Ils sont trop différents. Trop idiots. Ils croient en un monde pseudo-utopique où la nature du sang n'aurait aucune importance. Pauvres petits, ils ne savent pas à quel point ils risquent de tomber de haut. Enfin, au moins, cela nous ramènera de la chair fraîche à tourmenter.
‹ opinions politiques, en général. (sur le sang, les évènements en Angleterre, etc).: Je préfère me concentrer sur des choses plus importantes. Comme mon futur. Poudlard, Potter et toute la compagnie : rien à faire. Bien entendu, ma famille et moi partagions la plupart des idéaux de Celui Dont On Ne Doit Pas Prononcer Le Nom, mais bon. Il est certain que la pureté du sang est très importante, tout comme le fait que les sciences occultes et le don de fourchelang ne devraient pas être des tabous. Après tout, tout le monde ne peux pas être blanc comme neige. Et la noirceur, ça a ce petit quelque chose d'attrayant.
‹ ambitions professionnelles: Je n'ai pas encore d'idées arrêtées sur ce que je souhaiterais devenir, même si plusieurs professions m'ouvrent d'hors-et-déjà leurs bras. Après tout, je pourrais intégrer le Ministère de la Magie, comme mon paternel ou bien m'enfoncer encore un peu plus dans la noirceur. Enfin, pour l'instant, il me reste de longues années devant moi avant de me décider. Et pour l'instant, je préfère profiter du moment présent.


III / MOLDU Y ES-TU ?
‹ avatar souhaité: le plus de tous  ○ look into my eyes, it's where my demons hide.  246010025.
‹ pseudo et/ou prénom : devinez Rolling Eyes.
‹ notes/commentaire: I love youI love youI love you.
Wizarding Supremacy - 2013/2014


Dernière édition par Lazar Lupesco le Sam 4 Jan - 19:07, édité 8 fois
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EMILIE
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MessageSujet: Re: ○ look into my eyes, it's where my demons hide.    ○ look into my eyes, it's where my demons hide.  EmptyJeu 26 Déc - 20:05


II / ON RECOLTE CE QUE L'ON SEME
« Croyez-vous que les anglais sont plus stupides que la moyenne ? Maugréa Milena, ta cadette en lâchant avec fracas ses livres sur l'une des tables de la bibliothèque. » Aussitôt, des dizaines de tête se tournèrent dans votre direction, notamment celle de la bibliothécaire qui lança un regard assassin à la jeune Milena qui, concrètement, n'en avait que faire. « Oui, oui, je sais, Mademoiselle. Je suis épine dans le pieds de la société, c'est à cause de gens comme moi que notre système va mal et autres phrases idiotes du genre. En tout cas, mes parents paient plein pot pour financer votre poste, donc vous avez tout intérêt à garder votre bouche en cul-de-poule fermée. Vous êtes bien aimable. » Tu secouas la tête, amusé. Milena n'avait que dix-sept ans, et pourtant, elle n'était pas en retard, côté méchanceté. « Dieu ce que tu peux être mauvaise, susurra Viktoria, ta sœur jumelle en prenant un air excédé. » Ton sourire s'agrandit encore un peu. Tes sœurs étaient tout ce que tu possédais de vrai, de plus important, dans ta vie. Tu les aimais plus que ta propre personne et tu aurais absolument tout donné pour elles. Et tu savais que la réciproque était vraie. C'était les seules personnes en qui tu possédais une confiance absolue. Elles étaient les deux autres fragments de ton âme, ton oxygène, ta voie de raison. Depuis toujours, vous vous étiez entendus à merveilles. Jamais de disputes, de désaccords. Vous étiez aussi mauvais les uns que les autres, fourbes et mal-intentionnés. « Venant de la reine des garces, c'est plutôt ironique. » Viky te jeta un regard faussement vexé avant de venir écraser son poing sur ton épaule. Si ta sœur pouvait paraître comme une frêle petite chose blonde, il n'en était rien. Tu grimaças, avant de lui rendre la monnaie de sa pièce. Tu ne frappais pas les femmes, sauf si elles étaient de ton propre sang. « Hé, les enfants. Est-ce que c'est moi, ou bien j'aperçois le duo des nuls là-bas ? » Aussitôt, Viktoria et toi arrêtèrent de vous chamailler pour tourner votre regard dans la direction indiquée par Milena. « Est-ce qu'on ne leur avait pas expressément commander de ne plus jamais se retrouver dans la même pièce que nous, sous peine de rappel à l'ordre ? » Tes sœurs hochèrent la tête de concert. Vous étiez revanchards et surtout, rancuniers. Les deux élèves concernés étaient de véritables petites têtes qui acceptaient, autrefois, de rédiger vos devoirs. Mais, entraînés par une certaine rébellion, ils refusaient désormais de le faire. Et ils allaient en payer les conséquences. Encore une fois. Car on ne vous tournait pas le dos impunément. « Levicorpus, murmura Milena, en pointant sa baguette sur le duo. » Aussitôt, une grande fille rousse, aux cheveux filasses et au nez proéminent se retrouva en train de flotter dans les airs. Viktoria se mit à glousser et tout les regards se tournèrent vers vous, une fois de plus. « Levicorpus, fis-tu, à ton tour. » Le deuxième membre du duo subit le même sort, et tu te mis à rire, d'un rire mauvais, à ton tour. « Et bien, vous semblez avoir oublié notre dernière rencontre. » Viktoria s'approcha d'eux, de sa démarche chaloupée. Ses yeux brillaient de malice et sa bouche se tordit en un rictus. « Et, histoire de vous rafraîchir les idées. Nous allons être obligés de nous montrer méchants. Encore.» Elle s'approcha d'eux, et ils se mirent à trembler de tout leur être, à larmoyer et à supplier. « Mais bon sang, êtes-vous totalement inconscients ? Faites les redescendre tout de suite ! Beugla la bibliothécaire. » Milena te jeta un regard de connivence. « Comme vous le souhaitez. » Et vous rompîmes le sortilège, les laissant s'écraser brutalement sur le parquet ciré de la grande bibliothèque. « Et hop, redescendus sur terre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. » Vous ricanèrent méchamment, encore une fois, avant de ramasser vos affaires et de sortir de la pièce, les regards toujours tournés sur vous. « Vous êtes de vrais monstres ! » « Et vous venez seulement de vous en rendre compte ? »

☆ ☆ ☆

Tu sens les regards se poser sur toi, les autres élèves s'écarter devant vous, raser les murs pour ne pas croiser votre chemin. Et cela te fait jubiler de façon démesurée. Parce que ta came, à toi, c'est la peur chronique qu'éprouvent les autres en ta présence. Tu t'es forgé, au fil des années, la réputation dont tu avais toujours rêvé. Pas celle du petit caïd sorcier qui se sentait pousser des ailes grâce à l'argent. Oh non, toi, tu avais visé bien plus haut. Tu étais devenu le maître de la peur, le seigneur des cauchemars de tout Durmstrang. Même certains professeurs te craignaient. Tu avais appris à éteindre ton côté humain pour ne plus laisser parler que ta profonde cruauté. Tu aimais faire du mal autour de toi, te servir des autres pour servir tes propres fins. Et créer le plus de dommages collatéraux possibles. Tu n'épargnais personne, parce que personne ne trouvait grâce à tes yeux. A l'exception de tes deux têtes blondes de sœurs, bien entendu. Tu étais loin d'avoir froid aux yeux et tu avais toujours l'impression qu'aucunes règles ne s'appliquaient à toi. Non, tu créais tes propres règles. Tu étais un éternel insoumis, un rebelle, un sauvage. Une bête mesquine qui agissait sans foi ni loi. Et cela te convenait parfaitement. Car après tout, c'était ce que tu étais. Profondément et irrémédiablement. Il n'y avait pas en toi une once de bonté, ou bien celle-ci avait tout simplement finie par disparaître devant la noirceur de ton cœur. Si tant est que tu en possèdes réellement un. Parfois, tu te posais même la question. D'ailleurs, si tu écoutais les rumeurs qui couraient sur ton compte, la plupart des élèves de Durmstrang pensait que tu ne possédais même pas d'âme. Et tu ne faisais rien pour les en dissuader. Plus ils te craignaient, mieux tu te sentais. Tu te nourrissais de la peine et du mal-être des autres. Tu n'aimais rien autant que te montrer mauvais et sournois. A l'image de ta maison, tu étais avais tout d'un serpent. Partout où tu passais, tu aimais répandre ton poison et faire des victimes. Tes yeux verts rappelaient d'ailleurs ceux de cet animal que tu appréciais beaucoup. Certains allaient même jusqu'à dire qu'effectivement, les yeux étaient la fenêtre de l'âme. Tu ne comptais plus tes ennemis tellement ils étaient nombreux, d'ailleurs. Cependant, très peu, pour ne pas dire aucuns, n'osaient t'affronter. Ils te craignaient bien pour cela. Ils connaissaient ta roublardise sans limite et ton machiavélisme que Satan lui-même devait envier. Tu n'avais pas d'amis, seulement des serviteurs que tu finirais par détruire, car telle était ta nature profonde. Les gens avaient compris depuis bien longtemps que tu n'étais pas fiable et que tu retournais ta veste en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. « Regarde-les, ils sont tous terrifiés, jubila Viktoria, ta sœur jumelle, ton alter-ego en matière de méfaits. » Ton sourire mauvais, en coin, s'élargit encore un peu. Que cela est agréable d'être de retour à Durmstrang. « Les Lupesco sont de retour, souffla Milena, ta cadette, avec un air tout aussi mauvais. » Oh oui, vous étiez de retour et cette année ne ferait pas exception à la règle. Vous alliez vous montrer infects, malicieux et perfides jusqu'en juin, où les autres élèves seraient enfin débarrassés de votre influence néfaste. Jusqu'à la rentrée suivante. « J'espère qu'on vous a manqué ! Fis-tu d'une voix claire et distincte, alors que tout les regards se tournaient vers toi. Et surtout, j'espère que vous êtes prêts pour cette nouvelle année placée sous le signe des Lupesco. Comme toujours. »

☆ ☆ ☆

Tu poussas un énième soupir en constatant que ton parchemin était toujours aussi vierge que deux heures auparavant. Heure à laquelle tu t'étais mis à étudier pour cette archaïque matière qu'était l'étude des runes – une partie obligatoire des sciences occultes, afin de pouvoir décrypter les textes les plus anciens. Concrètement, tu n'avais aucune envie d'y passer encore des heures et tu te décidas à aller faire un tour au sein de l'immense bibliothèque de Durmstrang, afin de trouver un malheureux petit élève qui accepterait de faire ton devoir. La bibliothécaire t'adressa un regard plus noir que la nuit et tu lui adressas un sourire machiavélique. Elle détestait vous avoir, vous, les Lupesco, au sein de sa précieuse bibliothèque. Il était vrai que les troubles vous poursuivaient bien souvent et que l'endroit s'était déjà retrouvé sans dessus-dessous. Lorsque tu posais ton regard sur quelqu'un, tu voyais cette personne tenter de se recroqueviller sur elle-même jusqu'à disparaître. Un autre effet made in Lupesco. Alors que tu grimpais sur la mezzanine, tu te glissas dans une nouvelle allée. Mais rapidement, tu fus bientôt arrêté dans ton élan lorsque tu heurtas une autre personne. Tu sentis la colère s'emparer de toi. Qui osait donc se mettre en travers de ton chemin ? Tu étais un sanguin, un impulsif et tu réagissais toujours démesurément. Ton regard couleur émeraude fusilla la petite chose qui se trouvait devant toi, occupée à ramasser les quelques livres que votre collision avait fait chuter. Il ne te fallût pas plus de quelques secondes pour que tu comprennes qui elle était. Et tu t'en voulus, d'ailleurs, d'être capable de la reconnaître si facilement. Tu n'aurais pas dû. Elle n'aurait dû être qu'une fille parmi tant d'autres. Mais, malheureusement, ce n'était pas le cas. Elle releva alors son visage d'ange vers le tien et tu sentis ton cœur avoir un raté. Dieu qu'elle était belle. « Toujours dans mes pattes, Ivashkov. Je ne te savais pas si folle de moi, crachas-tu d'une voix froide en faisant un nouveau pas vers elle, l'accolant ainsi contre une étagère. » Tu pouvais sentir son souffle chaud venir s'écraser sur ton menton, sa cage thoracique qui se soulevait au rythme de sa respiration et son parfum ... enivrant. Elle était désormais piégée. Toute à toi, te souffla une petite voix à l'intérieur de ta tête. Une petite voix que tu détestais entendre. Et que, pourtant, tu ne pouvais ignorer depuis quelques temps. Depuis qu'elle t'avait sauvé la mise. Tu lui devais quelque chose et tu détestais ce sentiment. Tout comme l'envie irrépressible que tu avais de protéger cet ange blond. « Je sais que cela va bientôt faire deux nuits que je n'ai pas visité tes rêves, mais je ne comptais pas faire durer cette accalmie éternellement. » Tu fis un glisser de tes doigts sur l'une de ses joues de porcelaine alors que ton âme dans son entièreté s'enflamma à ce contact. Tu étais attiré par elle, irrésistiblement. Et tu la détestais tout autant. Cependant, tu n'étais pas comme les autres. Jamais tu ne laisserais ce genre de sentiments te commander. Tu étais un Lupesco, tu ne connaissais pas les attaches. Non, toi, ce qui était ton quotidien, c'était une solitude emplie de noirceur. « Au fait, tu diras à cet idiot qui te sers d'ami que s'il tente encore une fois de me tenir de tête, je le jetterais en patûre aux montres du lac. Ce serait dommage, il ne pourrait alors plus poser son regard énamouré sur toi, ricanas-tu méchamment avant de te détacher d'elle et de poursuivre ton chemin. » Tu sentais la jalousie commençait à te ronger et c'était signe qu'il fallait que tu te laisses aller à tes pires instincts. « Toi, là-bas ! Grognas-tu en claquant tes mains sur une des tables d'études. Tu crois que mon devoir va se faire tout seul ? »

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