+ Vadim et Sacha Belyavsky sont reconnus pour être deux grands criminels du vingtième siècle chez les sorciers. A la naissance de Andrya ceux-là étaient déjà en fuite pour divers braquages avec violence, arnaques, et autres actes criminels. Dix ans après la naissance de son frère est né Niklaus – et c’est un an après sa naissance que ses parents ont été envoyés en prison après l’assassinat de beaucoup de moldus et de sorciers lors d’un braquage qui a très mal tourné. Niklaus et son frère aîné ont alors été envoyés dans un orphelinat sorcier de Moscou. Ils ont grandi là-bas, jusqu’à ce qu’Andrya aille à Durmstrang, puis jusqu’à ce que cela soit son tour.

+ Pour Nik, Durmstrang est sa maison, Andrya sa seule famille qu’il chéri, et son nom est son fardeau. Etre le fils de ceux qui ont tué des sorciers n’est pas une chose facile, surtout que parmi les victimes il y avait également des proches d’élèves de Durmstrang. « Le fils du meurtier », cela l’a toujours mis hors de lui. Né en décembre, et donc de signe astrologique sagittaire, signe du feu, son caractère concorde parfaitement avec la maison Zmeï comme son frère avant lui. Agé de dix-sept ans lors de la coupe de feu, il a fait parti de la délégation de Durmstrang aux côtés de Viktor Krum – il garde un mauvais souvenir de l’Angleterre et n’a pas apprécié Poudlard.  Il a un certain mépris pour quelques camarades de sang pur qui l’on dissuadé de mettre son nom dans la coupe, comme si « le fils d’un criminel de sang mêlé pouvait représenter Durmstrang ».

+ Véritable Zmeï – il a le caractère qui correspond. Ce qui le caractérise est tout d’abord une ambition certaine et grandissante. Il considère que sa famille est souillé, et qu’il est donc de son devoir, et celui de son frère de faire en sorte de devenir plus puissant, plus autoritaire et plus important que les autres sorciers de sang pur. Malicieux et vantard, il est un peu comme un paon que plus l’on flatte, plus il est heureux. Malgré son ascendance qu’il considère comme particulièrement handicapante il ne baisse pas les bras et marche fièrement la tête haute.  Ces points forts sont qu’il a un caractère fort, entreprenant, et que sa détermination l’emmènera très loin.  Dans sa vie il compte devenir un sorcier réputé pour ses compétences d’aurors (et éventuellement de Mage noir un jour), et surtout de faire un beau mariage avec une fille de sang pure assez riche et puissante – juste pour pouvoir se faire plus facilement une place.

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Dix années de différences, cela peut paraitre énorme, surtout lorsqu’à un an, votre frère aîné part étudier à Durmstrang la plus grand partie de l’année. Pourtant, ils partagent un lien unique : celui du sang.  Dès que son petit frère a été assez grand pour comprendre ce qu’on lui disait, Andrya lui écrivait des lettres toutes les semaines, et c’était une femme de l’orphelinat qui les lui lisait. C’était leur lien à tous les deux, car ils n’ont jamais été à l’école ensemble.  Les lettres rythmaient leur quotidien, et quand Nik a été assez âgé pour savoir écrire, il lui répondait aussitôt. Nik a très rapidement rêvé de magie, de Durmstrang à travers les lettres de son frère. Ils partageaient un lien fort durant les vacances, ne se lâchant presque jamais, malgré les dix ans de différences, ils n’hésitaient à faire les quatre cent coups ensemble – Nik a tout appris de Andrya, sa ruse, ses coups fourrés, sa façon de parler, et le quidditch.

A dix ans, Andrya s’est battu pour qu’il ne soit jamais séparé de son petit frère à peine âgé d’un an, et a longtemps fait tout ce qu’il lui était possible pour lui épargner le dur nom qu’ils avaient en héritage, essayant de le préserver dans une sorte de cocon. Hélas, pour Nik, son frère n’était pas là à son entré à Durmstrang, et ce n’était pas facile pour lui d’affronter la réalité tout de suite : il était un fils de criminel, et pour l’instant le « frère de l’illustre Andrya – le brillant ». La décadence a alors commencé entre les deux frères, le plus jeune reprochait à l’aîné de ne pas l’avoir préparé aux regards des autres, à leur méchanceté.

Nik a hérité d’un nom trop dur à porter pour le gamin de onze ans qu’il était – il a du se faire sa place au détriment de l’entente parfaite qu’il partageait avec son frère.  Andrya avait la vie qui lui souriait – l’intelligence, il était entrain de devenir le plus jeune historien écrivain du monde sorcier et un des plus populaire, attirant à lui les faveurs de jeunes femmes. De son côté, Nik s’est fait une place assez différente, se faisant connaitre pour son charisme, sa présence, ses amitiés, ses alliances, ses manipulations et autres fourberies. Andrya était l’enfant prodige de la famille, et Nik était fourbe et ressemblait de plus en plus à ses parents, à un criminel. La quinzième année de Niklaus a bien failli lui coûter tous ses rêves. A Durmstrang il avait failli être renvoyé pour être rentré par effraction dans le bureau du directeur pour y voler un objet de valeur juste pour prouver de quoi il était capable à des camarades. Si seulement cela s’était arrêté ici – si seulement.

Dès qu’Andrya avait eu de quoi leur payer un appartement, il l’avait fait, et durant les vacances malgré les tensions lié à la crise d’adolescence de son frère – ils vivaient ensemble. Un jour, Niklaus est arrivé couvert de neige tard dans la soirée à l’appartement de la famille – bouleversé. « Que se passe-t-il encore Nik ? » dit alors Andrya penché sur son bureau en train de rédiger des nouveaux chapitres pour son livre consacré aux grands sorciers du dix-septième siècle en Europe de l’Est. « Je… j’ai besoin de toi. » L’aîné leva alors la tête, surpris par cette demande. « Et depuis quand tu as… » il ne finit pas sa phrase, la mine déconfite de son petit frère couvert de neige suffit à le faire taire, et à se lever brusquement de sa chaise. « Par ma barbe que s’est-il passé ? » Son petit frère le fixa et dit alors : « J’ai volé un truc… » Les souvenirs d’enfance d’Andrya remontèrent à la surface, plus il le regardait, plus il voyait son père. « C’était pour faire genre… tu sais. » Andrya secoua la tête « Non, je ne sais pas ! Mais qu’avais-tu en tête ! On doit prouver aux autres qu’on est différents d’eux pas leur montrer que l’on y arrive aussi ! » Hurla alors Andrya. Nik baissa la tête, son frère avait toujours été le seul capable de le faire plier, « Qu’est ce que tu as volé ? » demanda Andrya essayant de réfléchir le plus vite possible. « Une tiare – au musée magique – un truc magique qui appartenu aux Empereurs Romanov. » Andrya le fixa alors soudainement : « Pardon ? Tu as volé un bijou d’une valeur inestimable ? Comment as-tu fait ? » Il était hors de lui, il montait de plus en plus la voix. « Deux trois trucs… un tour de passe passe et deux trois trucs de magie noire… rien de… » Il fut coupé par son aîné : « Il faut qu’on le rende. » Nik acquièça, et dit alors « Je vais aller me rendre. » Il poussa un soupire et ajouta : « Je voulais pas leur ressembler tu sais, mais j’arrive pas à te ressembler alors… » Andrya fixa son petit frère, et dit alors sèchement « Je vais aller le rendre moi. Tu ne sera pas pas impliqué et tu pourras faire honneur à notre nom, devenir quelqu'un. » Sa voix était sèche, et Nik dit alors : « Tu peux pas faire ça c’est ma faute ! » « Non, c’est la mienne – j’ai été incapable de t’empêcher de faire ça ! J’ai été incapable de t’élever ! » Son frère s’approcha la tiare en main et bafouilla : « Andrya je… » Son frère le coupa : « C’est ça la famille, on se sacrifie l’un pour l’autre. » Il lui arracha la tiare des mains et dit alors : « Ne me fait plus jamais honte. » Il sorti alors de l’appartement après avoir attrapé sa veste, et une écharpe. Il était allé se rendre à sa place.

Il avait alors quinze ans à l’époque, et Andrya en avait vingt cinq, celui-ci a été condamné à trois ans de prison durant lesquelles il continua à écrire des livres d’histoire de la magie, devenant malgré les barreaux un auteur reconnu. Son avocat a plaider la non conscience des actes dû à une enfance tragique placée sous le signe des vols et des arnaques. Trois années qui sont maintenant derrière lui – durant ces trois ans, Nik n’a jamais cessé de lui écrire n’ayant reçu aucune réponse durant la première année. Aujourd’hui, les frères Belyavsky se parlent, vivent ensemble mais la confiance est loin d’être rétablie, maintenant c’est lui, Niklaus l’enfant prodige, l’enfant populaire, intelligent. Andrya n’est que l’ancien voleur de bijoux professeur d’histoire de la magie à Durmstrang qui n’est pas contre les anciens détenus à en voir l’ancien directeur Igor Karkaroff.


Il attendit qu’elle soit seule pour aller la voir. Comment se connaissaient-ils alors qu’elle venait de débarquer à Durmstrang ? Et bien, il y avait maintenant quatre ans, il avait participer au tournois des Trois Sorciers – et était membre de la délégation de Durmstrang au côté de Viktor Krum – le sorcier sang mêlé de la délégation. Quelle poisse – mais il avait surtout fait la rencontre de Jemina Romanov – c’était un nom chez les sorciers d’Europe de l’est, elle faisait partie d’une ancienne famille royale. Ils sont sortis ensemble pendant la courte année qui lui avait été  impartie et puis, la relation longue distance s’est soldée par un échec cuisant – de plus il avait tendance à trop regarder les autres filles. Plus âgé qu’elle, le frère de celle-ci a assez mal vu leur relation. Aujourd’hui, il la retrouvait penché sur un livre dans la bibliothèque de Durmstrang. Il tira la chaise à côté d’elle et dit alors : « Tu sais que tu devrais surveiller tes fréquentations Mina. Ellström n’est pas la fréquentation la plus recommandable surtout quand on s’appelle Romanov. » Elle leva brusquement la tête et se trouva nez à nez avec son passé Niklaus Belyavksy – son ex-petit ami, et pas forcément sa plus glorieuse relation. Elle poussa un soupire : « Que me vaut cet honneur Belyavsky ? » dit-elle un peu las. Il s’assit juste à côté d’elle, « Je croyais que toi et moi on s’appelait pas nos petits noms Mina. » Il esquissa un sourire et se tourna vers elle, attendant qu’elle daigne tourner la tête vers lui, elle dit alors : « Oh, mais ça c’était avant. » Ils se fixèrent un long moment quand il dit : « Je dis ça pour toi – et ta famille – ils se fichent de la nature du sang et aiment bien les moldus, pour la réputation des tiens, tu devrais faire attention. » Elle ferma brusquement son livre, manquant d’écraser les doigts de Niklaus qui avait laissé trainer les siens près d’ici, et dit alors : « Tu crois vraiment que tu as des leçons à me donner en matière de réputation ? » Elle était un peu sèche, il ajouta alors adorant l’idée de la voir s’énerver : « Je n’ai pas de leçon à te donner mais je peux te présenter les bonnes personnes. » Elle haussa un sourcil, et poussa un soupire, repoussant le livre un peu plus loin sur la table, « Et depuis quand tu te soucis de ma réputation et de mes fréquentations ? » Il se rapprocha un peu plus d’elle, et dit alors : « J’ai jamais cessé de me soucier de toi Mina, jamais, quatre ans que je pense à toi tous les jours. » Des paroles, des paroles. Niklaus n’avait jamais vraiment su s’il s’était intéressé à elle pour son nom, pour sa famille, pour sa gloire, ou si il était réellement tombé sous son charme dès le premier regard dans la grande salle à Poudlard. Il ne savait pas, c’était toujours confus dans sa tête entre sentiment et rêve de grandeur. Pour Mina il avait été son premier amour « ne fréquente pas ce type – son frère est en prison et ses parents aussi » lui avait dit son frère, mais c’était justement ce côté mauvais garçon qui l’avait attirée. « Garde tes belles paroles. » dit alors Jemina en se levant. Elle lui tourna le dos, et il lui lança : « Tu ne peux pas te passer de moi Jemina ! » Bien sur, c’était sur le ton de défi.  Elle lui tourna le dos, laissant afficher un sourire qu’il ne verrait pas, non, elle ne voulait pas abattre toutes ses cartes, certainement pas.

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BIENNNN ! Alors, premièrement l’avatar n’est pas négociable, j’aime trop Ben Barnes et il est le parfait petit frère impétueux et avec le sort de son frère sur la conscience ! :MG:Bref, après, l’histoire est grosso modo racontré ici, le prénom peut être négociable, je suis ouvert à toutes suggestions ! Si vous prenez ce personnage: je vous aime, c’est purement et simplement ça. Voili, voilou !