‹ don : A l'image de son frère ainé, Mara n'a eu de cesse de le voir comme un parfait exemple, une source d'inspiration. L'allégresse d'un savoir, d'une maitrise et la lutte d'un travail dit acharné à finit par lui rendre un travail payant. Elle possède le don d'être un animagi, une particularité magique dont la maitrise se veut beaucoup plus difficile que son lien fraternel en particulier à cause de ses soucis de santé. Un effort dont son corps paie souvent le prix.
‹ signe astrologique du zodiaque :  Nait sous la bienveillance et la prudence du signe astrologique de la vierge, c'est donc tout naturellement que la jeune Banica a rejoins les rangs des Duergars. Une maison loin de dépeindre son attitude ou encore les racines de son comportement qui sur de nombreux points demeurent opposés, au contraire de ses proches ayant rejoint les sirènes.
‹ patronus: Si les croyances autour des oiseaux sont nombreux, celle du colibri prend naissance au cœur d'une histoire révélant sa nature véritable. Au delà de son aspect fragile et relatif à la beauté, ce petit oisillon est un vecteur de force mentale, et d'une espoir porteur d'un bonheur relatif au bien être du monde qui l'entoure. Une bienveillance songeuse et prudente qui révèle plutôt bien l'être qu'est Mara qui en plus d'être son patronus est la forme que prend son animagi.
‹ animal de compagnie : La brunette s'est vu remettre dès sa première rentrée de l'école un dragon miniature, une habitude dont beaucoup d'élèves ont pris la charge. Elle possède un suédois un museau court prénommé Thorne, dont le caracté possessif et malin à le don de la faire sourire quoi qu'il arrive.
‹ option/cursus ou emploi: Actuellement  étudiante sous le diplôme du GRIVE, Mara suit le cursus de médicomagie où elle révèle un véritable talent, un choix avant tout personnel.
‹ baguette: Forgé et travaillé dans du bois de roseau pour souligner la force de l'esprit et la prudence, elle contient en son cœur un crin de licorne et mesure près de vingt-sept centimètre et demi. Une baguette magique à la fois rigide et ayant des prédispositions pour les sortilèges de défenses.
‹ clubs : Bien qu'elle apprécie le bien être des rassemblement en collectivité, Mara a quitté depuis quelques années déjà le club de d'échecs de l'école mais n'a jamais cessé de pratiquer les duels entre sorciers qui lui permettent d'en apprendre à maximum sur les différentes techniques de ses potentiels adversaires. Une demande de son père qu'elle respecte.
‹ traits de caractères: Songeuse, bienveillante, courageuse, rationnelle, un brin fataliste, perspicace, candide, tendre, honnête, ronchonne, sibylline, imprévisible, maladroite, assidue, cultivée, tactile, pleine de vie, objective, sensible, vulnérable, forte mentalement, vivace, intellectuelle, téméraire, sociable, déterminée, tenace, magnanime, douce, diplomate, vaillante, (...)
‹ description brève des relations au sein de la famille: Bien différente de ces deux liens fraternels, Mara s'est parfaitement harmoniser leurs trois caractères bien distincts les uns des autres. Ils sont ses plus proches alliés, ses plus proches armes de cœur pour garder les pieds sur terres et la tête sur les épaules. Si avec sa mère la difficulté de communication est on ne peut plus compliquée en soit c'est auprès de son père que la jeune sang-pur s'épanouie d'une manière qui lui demeure tout à fait naturelle. Les Banica sont connus pour leur sens de l'honneur, une vérité qui régit une grande partie de sa philosophie de vie qui n'est que l'extension de sa pensée primaire. Elle respectera les siens quoi qu'il advienne dans l'avenir même si ses opinions et les leurs divergent.

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‹ opinion sur l'ouverture de la SIMES:  L'ouverture de l'esprit, l'ouverture des frontières. Pour elle, l'un ne va pas sans l'autre et l'ouverture de la SIMES n'est que le début d'un lien avec le reste du monde des sorciers. Une chance et une opportunité qu'elle aurait saisit également si elle avait vécu sur le continent européen ou encore américain. Elle est bien évidement favorable à cette idée et n'hésiterai nullement à émettre son avis de manière positive. Un petit plus pour le futur et les relations internationales.
‹ opinions politiques, en général. (sur le sang, les évènements en Angleterre, etc).:  Des racines royales, des racines ayant le sens de l'honneur et de la tolérance. Cette dernière caractéristique est l'une des principales sources de conscience avec laquelle elle agrandit et qu'elle continue de perdurer. L'ascendance n'est pour elle qu'un simple détail car la grandeur est dans l'action de l'homme et non le contraire. La situation en Angleterre à durant longtemps fait parlé les habitants du nord mais en ce qui la concerne, elle heureuse de savoir que la fin est enfin à portée d'un avenir meilleur pour les sorciers de ce continent.
‹ ambitions professionnelles:  Une espérance qu'elle ne prévoit que doucement mais qu'elle espère certainement. De la patiente et de l'assiduité, Mara aspire à suivre un chemin professionnel et existentiel bien loin de l'ambition d'une cœur beaucoup plus encré dans la simplicité de l'existence et cela commence par un espoir d'exercer et de rechercher de meilleurs moyens sanitaire dans le domaine de la médicomagie. Un domaine encore emplit de mystères sans réponses.

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i'll chase all the dragons for you - Les brindilles d’herbes et les jeunes pousses de tulipes te chatouillent les chevilles. Tes pieds nus caressent avec une certaine allégresse la liberté de savourer pleinement l’arrivée d’un été que tu attendais depuis des semaines. Derrière la fenêtre de la demeure familiale tu ne cessais de trépigner d’impatience à l’idée que sentir les bienfaits d’un soleil lumineux et chaleureux. Désormais, ce plafond sans nuage et uniquement doté d’un bleu azuréen s’offre à toi. Tu cours à en perdre haleine, à en perdre la digne notion du temps, cette notion trop insaisissable à l’œil nu mais que l’on reconnait uniquement à la fin d’une existence parce que l’on a été trop impatient et incertain de la comprendre. Ton souffle vacille beaucoup plus aisément que la normale, mais tu le sais et tu vis avec cette différente qui fait de ta personne ce que tu es aujourd’hui. Les jardins de ton enfance sont la magie même de la réalité où le terme éphémère n’aura jamais sont stricte mot à dire. Dans cette partie du monde la fatalité n’existe pas, l’aliénation n’a aucunement sa place car seul le pouvoir de l’imagination et de la force de l’esprit de donne des ailes. Des ailes dont personne ne pourra te priver parce que toi seul en demeure la maitresse. A l’image d’une partie d’échec, c’est toi qui représente l’échiquier et jamais tu ne voudrais en toucher les carreaux. Tu distribues des conseils de rêves et non des ordres où les pions se déplaceraient uniquement au son de ta voix. Non, eux aussi sont également libres de penser et de s’épanouir. Alors tu continues de courir dans la petite clairière qui encercle tout le domaine de la famille Banica, ta robe d’une couleur bleu aquarelle se balançant au rythme capricieux du vent. Arrivée au sein du cœur des petits boulots et chênes, tu t’arrêtes brutalement tes prunelles d’un brun écorce rare toisant avec une certaine mesure le son harmonieux qu’est le chant des oiseaux. Ils sont ivres de paix, appréciateur de douceur, messager de légèreté. Ta respiration est saccadée et tu peines à reprendre le contrôle de ta respiration cardiaque. Tes difficultés respiratoires ne se font que de plus en plus difficile chaque année, et enfièvrent un peu plus les inquiétudes de tes parents. Ils ignorent de la consciente réalité que tu portes à ton attrait de santé, ils ignorent tout de la force qui vibre en toi et tu ne te berces pas d’illusions qui adoucissent davantage l’universelle pensée qui trotte constamment dans ton esprit. Main en visière – pour filtrer les rayons du soleil indisposant ta vue – tu observes attentivement ce retour des beaux jours au travers du sifflement des oiseaux. Ton rire cristallin s’élève tel un petit carillon, une petite clochette. Des bras bien plus puissant que les tiens, te saisissent par la taille pour te porter encore plus haut alors que la voix de paternel te murmure à l’oreille. « Les colibris t’intéressent tant que cela Mara ? ». Son timbre de voix avait pour coutume d’inspirer le respect et la confiance mais en famille, derrière les dires du protocole il laissait son masque tomber avec ravissement. Il était cette figure parentale dont avait ton frère ainé avait hérité les yeux et dont la couleur de tes cheveux lui était trait pour trait ressemblante. Passant une main autour de son cou pour mieux t’accrocher, tu lèves un peu plus la tête vers le haut des arbres en hochant lentement la tête. « J’aimerai pouvoir partager un peu de leur force et de leur existence. Pour toucher le ciel, pour prendre de la hauteur et respirer tout ce que je ne peux pas ! ». Ton père rigole d’un ricanement bon enfant le tout sur une note de tendresse et de protection. « Tu peux y arriver, tu n’as jamais rien laissé t’entraver ma grande. Lévine pourrait commencer à t’apprendre en mon absence et lorsque je reviendrai je me chargerai de t’aider. ». Te dit-il avec conviction comme il a toujours su si bien le faire. « Promis ? ». Il hoche la tête avec ferveur tout en caressant tes longues boucles brunes cuivrées. Et en regardant ces petits colibris s’imprégner du parfum des fleurs, tu sais qu’à l’image du conte dont tu portais le prénom éponyme, tu parviendrais à réaliser une promesse visant à toucher du bout des doigts l’illusion d’un ciel sans nuage.

you see its not the wings that makes the angel - Derrière l’abri du feuillage des arbres, derrière la couverture de verdure qui s’offre à toi tu ressens le bien être de la plénitude en apesanteur. En cette hauteur tu sais que tout ira toujours aussi bien que lorsque tu souris à tes amis pour leur assurer que rien en est toi n’est divergent de ta personne. En cette hauteur tu prends du bon temps pour laisser libre cours à la nature que t’as offert ta naissance. Tu planes tel un oiseau sans cage ni limite, ni obligation. Tu aperçois le soleil qui dans quelques minutes sera à son apogée pour aujourd’hui, et tu sens qu’il est bien temps que tu rentres afin de poursuivre ta petite routine de tous les jours. Cette dernière te rassure d’ailleurs car tu peux sans le moindre mal te sentir en sécurité – quand bien même tu as bien du mal à ne pas baisser ta garde. Tu regagnes alors la terre ferme en laissant le colibri discret derrière toi pour reprendre une apparence humaine synonyme de clairvoyance et de maladresse. Tu esquisses un sourire en coin mi amusé mi fataliste face à la douleur qui s’étend le long de ton bras gauche. Une aile blessée quelques jours auparavant la similitude à l’état dit humain en était la même. Ta main droite vient se poser instinctivement comme un baume au niveau de ton coude gauche. Une impression qui bien rapidement est de courte durée, mais tu fais comme si de rien était mais la grimace te trahit. Tu es si facile à lire lorsque tes défenses ne sont plus en mouvement. Les bois du domaine de Durmstrang sont bien différents de ceux dans lesquels tu virevoltes de coutume. En Roumanie, la densité de la faune et de la flore s’étend à perte de vue autour de la demeure familiale où tu résides durant les vacances. Un paysage qui te manque, mais qui n’en occulte aucunement cette palette de couleur semblable à nulle autre pareille. C’est sur cette pensée mélancolique bien qu’agréable, que les battements de ton cœur s’accélère, laissant place à une crise d’angoisse alors que tu t’apprêtes à franchir les premières marches du pavillon menant aux résidences des étudiants. Ces derniers sont sans doute déjà en train de rejoindre la salle dinatoire, ce qui évite toute trace de curiosité sur ta personne. Tu as horreur d’être le centre d’intérêt. Tu toussotes un peu plus fort pour chasser cette impression de suffoquer, le bout de tes doigts frôlant ta gorge. Ton cœur est faible c’est une évidence, mais ton esprit est grand. Laisse ce dernier s’imprégner de cet espoir qui en sera aussi brulant. Les paroles de ton père se répercutent toujours dans ta mémoire et ce à chaque fois que les symptômes de ta maladie se déclarent. Ils te permettent de maintenir le cap, de te donner un ordre de priorité, un monde dans lequel tu fais encore partie. Les élans de l’anxiété première commencent doucement mais certainement par se faire moins pesant, ta clairvoyance reprend lentement ses droits. Légèrement accroupi sur les premières marches de pierres, une voix pondérée et calme retentit à ton oreille. « Tu devrais être déjà à l’intérieur depuis longtemps Marasha. ». Ce n’était pas une suggestion mais plus une assertion doublé d’un conseil avisé. Ce timbre de voix, l’ensemble de la maison Duergar ne l’entendait que très peu ou bien selon des accents graves car l’une des nombreuses règles de la charte du bâtiment n’est pas respectée. Ce timbre de voix tu avais également eu le loisir de l’entendre durant ton enfance sous des expressions faciales bien plus naturelles, sans la moindre maitrise d’émotions.  Tu relèves légèrement le visage en sa direction, remarquant au passage la main qu’il te tend. Tes prunelles rencontrent les siennes d’où se dégage une aura mystérieuse et difficile à cerner. Les Svetkova étaient connus pour être de parfaits êtres humains aussi rusés et discret qu’une ombre, d’où leur savoir-faire dans l’art de la filature. Une famille solidairement lié à la vôtre depuis des années, comme il était étroitement lié à toi d’une étrange manière. Tu saisis sa main, sa poigne étant solide et rigide, sa peau chaude et rugueuse à la fois. « Fais comme si tu ne m’avais pas vu pour une fois. ». Lui dis-tu calmement tout en te redressant de ta hauteur. En tant que gardien, Isaak avait le devoir de  limiter tout rapprochement avec le personnel tout comme l’ensemble des étudiants. Il était là pour veiller aux directives qui faisaient de l’enseignement nordique l’un des plus droits et exemplaire qui soit ; seulement il était également là pour veiller sur toi d’une manière que tu ne parvenais guère à comprendre au-delà de l’évidence de votre amitié d’enfance. Le brun exerce une fine pression – explicite – sur la paume de ta main, le regard fixé sur dans l’encre noire de tes pupilles. « Il est peut-être temps que j’arrête de fermer les yeux Marasha, tu ne peux pas continuer comme ça. ». Te murmure-t-il d’une voix blanche et catégorique à la fois. Tu savais très bien de quoi il parlait, un sujet que tu n’appréciais pas que l’on parle comme pour nier l’évidence contre lequel on ne pouvait rien. Lévine tenait aussi ce discours, refusant d’accepter la réalité des faits, niant la possibilité qu’un jour tu ne vives plus sous cette enveloppe corporelle mais dans celle de ces vestiges intérieurs. D’un geste contrarié, tu dégages ta main de la sienne mais il tient bon et resserre sa prise autour de ce lien qui vous lie physiquement. « Arrête de m’appeler comme ça, tu sais que je n’aime pas. ». Tonnes-tu à ton tour d’une demi-teinte rancunière. Il t’attire à lui de manière soudaine, te collant contre lui, ta tête reposant sur ton torse car il te domine bien d’une bonne tête de plus. Sa main caresse ton dos, l’effluve de son parfum enivrant tes narines. Le connaissant tu sais que cette démonstration – bien qu’étonnante – n’est pas un acte dû au hasard. Il était prémédité, et la sincérité de ce geste est d’une pureté que tu ne comprends pas encore tout à fait. « C’est un beau prénom pourtant. ». Te souffle-t-il à l’oreille avec malice et complicité. Même si tu ne peux observer les traits de son visage tu imagines déjà le parfait sourire de loup que se loge aux coins de ses lèvres. « Fais-moi ce plaisir de faire attention à toi car malheureusement je ne suis pas toujours dans les parages. Tu le dois pour ta famille, pour toi-même et pour moi. ». Poursuis-t-il tout en se reculant quelque peu pour te toiser d’une œillade latente et silencieuse. Il observe ta réaction face à la teneur de ses propos – qui te prenne légèrement au dépourvu –. L’énoncé véridique te surprend, mais tes yeux traduisent les mots que tu as bien du mal à prononcer, tu n’as jamais été très douée pour voir au-delà des gestes de l’attachement amical, vous qui n’aviez toujours été que cela. Du bout des doigts il caresse ta joue, puis ta lèvre inférieure, cet éternel sourire bohème et ambitieux présent sur sa bouche. Ton cœur est faible c’est une évidence, mais ton esprit est grand. Laisse ce dernier s’imprégner de cet espoir qui en sera aussi brulant. Les paroles de ton paternel résonne encore au creux de ta mémoire. Elles commencent à réellement prendre du sens. Un sens que tu dois finir par trouver de façon concrète, ce qui reste encore bien facétieux.