‹ don :  Le fils Lischka est un animagus. En effet depuis près de 2 ans maintenant, il est capable de se transformer en un ours noir imposant, proche de l’ours américain. Ses transformations sont le fruit d’heures incalculables d’entrainement, d’exercices physiques et d’acharnement durant les vacances et les cours de métamorphoses avancés, cours dans lesquels le prince excelle. Dûment référencé auprès du ministère de la magie, il doit néanmoins peaufiner cette capacité, notamment du fait qu’une intense colère a tendance à le faire se transformer de manière aléatoire, ce qui est interdit au sein de l’école et risque de lui attirer des problème …
‹ signe astrologique du zodiaque :  Ulrich est Scorpion du premier Décan, et par conséquent est destiné à la maison de la sirène, Rusalka.
‹ patronus: Quelle est la forme de votre patronus, et pourquoi ? Son patronus est un turul. Vous ne savez pas ce qu’est un Turul ? t-t-t-t … Le Turul est un rapace plus grand que la moyenne, croisement de l’Aigle et du Faucon. Le Turul est le symbole de l’Autriche Hongrie, et il est à noter que la plupart des Mâles de la famille Liscka ont un Turul comme patronus, signe de leur appartenance à cette famille.
‹ animal de compagnie : Ulrich n’a pas d’animal, il n’a pas le temps pour ça.  Si il a besoin d’un hibou, il emprunte celui de quelqu’un, ou l’un de ceux mis à disposition dans la volière.
Cursus: Il est actuellement en S.I.N.G.E  de métamorphose et de sciences occultes. Mettant un point d’honneur à exceller dans la plupart des classes, Ulrich a encore l’embarras du choix concernant son futur, l’argent n’étant pas un problème pour lui. Néanmoins, il se verrait bien en chasseur de prime, ou explorateur. A moins que le devoir et le pouvoir le rappelle à l’ordre.
‹ ancienne école et maison pour les étrangers: Il est à Durmstang depuis son plus jeune âge.
‹ baguette: Sa baguette vient de chez Ollivander, sur le chemin de traverse. Pourquoi ne pas être allé voir Gregorovitch ? tout simplement parce que la plupart des élèves de Durmstrang vont se fournir là bas. Alors un peu d’originalité, que diable ! Sa baguette est en bois de Pommier (arbre biblique et à la symbolique magique par excellence), de 32 centimètres, avec un cœur en plume de phoenix.
‹ clubs :  Ulrich fait parti du club d'échec depuis qu’il a l’age d’y participer, et est un adversaire redouté pour son jusqu’au boutisme, et ses tactiques agressives. De même, il est batteur dans l’équipe de quidditch, et passe de demander la place de capitaine de l’équipe.  
‹ traits de caractères: Brillant- Cultivée -Sur de lui -Fier-Snob-Elégant-Charismatique-Excessif-Arrogant-Sérieux-Perfectionniste-Violent-Autoritaire- Cynique-Calme-Réfléchi- Rancunier.
‹ description brève des relations au sein de la famille: En tant qu’aîné de sa fratrie, il a été élevé à la dure, mais comme un enfant roi. Il a montré dès tout petit des prédispositions pour la magie, que ses parents non eut de cesse de stimuler, malgré l’interdiction pour les enfants magiciens de pratiquer la magie. Il n’a jamais reçu veritablement d’amour de ses parents, mais n’a pas vécu pour autant sans que l’on s’intéresse à lui. Etre démonstratif n’était pas vraiment la tradition dans la maison. On formait des guerriers, des combattants, qu’ils soient des enfants garçons ou filles, il fallait se montrer fort, sur de soi, déterminé. Il a néanmoins partagé quelques moments de tendresse avec sa petite sœur Hedwig, à qui il tient plus que tout, bien qu’il se gardera bien de le dire à qui que ce soit.

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‹ opinion sur l'ouverture de la SIMES:   Si les autorités de Durmstrang ont du temps et de l’argent à perdre à accueillir des gamins sans discipline ni pedigree, grand bien leur fassent. Mais ils vont bien vite comprendre qu’ils ne sont pas ici chez eux, et qu’il y a une hiérarchie à respecter à Durmstang, sous peine de représailles sanglantes, et sans préavis.  Tant qu’ils ne viennent pas marcher sur mes plates bandes, je n’irais pas les maltraiter volontairement. Mais si l’un deux commencent à me casser les pieds avec leurs fierté de sang mélé, ou pire, de né moldu, je ne répondrais plus de rien. Il y a des limites à ne pas dépasser tout de même.
‹ opinions politiques, en général. (sur le sang, les évènements en Angleterre, etc).:  Peut on vraiment parler d’opinions quand on est élevé depuis l’enfance à penser d’une certaine façon ? J’ai l’impression de ne pas vraiment avoir de choix sur la question : on m’a appris que le sang d’un sorcier devait rester pur afin que celui-ci conserve toutes ses compétences en matière de magie. Et puis franchement, vous vous imaginez vous partager votre vie avec quelqu’un qui n’est pas capable de faire un dixième de ce que vous pouvez faire depuis vos douze ans ? non, ce n’est vraiment pas possible. Les rois ne se mariaient pas avec leurs serfs, ils y a 500 ans ? Et bien voilà, les sorciers ne se marient pas avec des moldus. Nous n’avons rien à faire ensemble, et moins je les cotois, mieux je me porte. J’ai déjà bien assez à faire avec les gens de mon genre.  
‹ ambitions professionnelles:  Ma famille espère faire de moi un mage puissant et à l’influence aristocratique certaine :  un membre du conclave, pour sur, mais surtout, le futur Korol. Sauf que voilà, je ne veux pas qu’ils se voilent la face, je suis encore trop jeune pour briguer ce genre de place, et j’aurais bon nombre d’ennemis à mettre hors course avant d’abattre ce genre de carte, et le Romanov en premier lieu. Alors d’abord je finis mes études, et ensuite j’envisage de partir en voyage, quelques années, et d disparaitre de la circulation, pour avoir accéder à la magie la plus puissante de chaque culture, de chaque civilisation, pour revenir plus fort que jamais quand tout le monde m’aurait oublier. A ce moment là, plus fort et déterminé que jamais, je me rappellerais à leurs bons souvenirs …

La canne claque une seconde fois sur le marbre froid. « Encore une fois » dit une voix masculine et dure. Le petit garçon retient ses larmes, se mordant la lèvre si forte que le gout âcre du sang baigne à présent sa bouche. Il tend sa petit main tremblante au dessus de la table de bois sombre, en direction de la salière qui trône de l’autre coté. Son bras d’enfant est bien trop court pour attendre le petit objet en argent, et pourtant il tendait les doigts en sa direction, fébrile. « tu es lent Ulrich, beaucoup trop lent ». Le gosse tourna la tête vers son père, qui n’était qu’à quelques pas, déglutissant difficilement,  avant de se reconcentrer sur la salière, en tachant, du haut de ses sept ans, de contenir sa terreur. Mais il était trop tard, il n’avait pas été assez rapide. La canne s’abattit dans son dos, dans le creux de son épaule, ce qui le força à mettre un genou à terre, la main toujours tendue vers l’objet brillant, sans jamais l’atteindre. Les coups plurent pendant une longue, très longue minute, avant que le Père Lischka conclut d’une voix égale, dénuée de sentiment « Nous reprendrons demain, rentre dans ta chambre. » Le petit garçon resta prostré sur le sol en attendant que son père quitte la pièce puis, flageolant, il se redressa sur ses jambes couvertes de bleus, et retendit les doigts de sa main gauche vers la salière qui frémit. Trembla. Puis glissa lentement sur plus d’un mètre pour se loger dans la main du petit garçon, qui sourit. Puis l’éclata sur le sol, en mille morceaux.


Ulrich était en sueur. Cela faisait quoi ? bien 3 heures qu’il  se concentrait, assis comme un idiot sur sa chaise, face à son père, dont il ne savait pas si il le fixait ou s’il dormait debout. La frustration arrivait à son paroxysme : pourquoi, pourquoi n’y arrivait il pas ? Il était l’un des meilleur élève de l’école, il était majeur et vacciné, il savait qu’il aurait tous ses diplômes haut la main. Alors pourquoi n’arrivait il pas à se transformer ? Il pratiquait Maintenant depuis des semaines, sans voir le moindre résultat. Son père disait qu’il n’avait pas encore une idée assez précise de son animal intérieur, que sans ça, il n’avancerait jamais. Ulrich pensait que c’était un ramassis de conn … de bétises. Il avait appris en autodidacte à créer un patonus en 6ème année, et savait qu’il représentait un énorme corbeau, de ceux que l’on trouve dans les montagnes françaises où il passait tous ses étés depuis sa petite enfance. Alors, il devait forcément se transformer en oiseau, non ? Pourquoi son patronus ne représenterait il pas son moi profond ? C’était absurde, et il s’acharnait, encore et encore. Puis, sans qu’il ne s’y attende, Lischka sénior s’avança vers lui et, avec une douceur et une lenteur surprenante, le poussa pour faire tomber sa chaise à la renverse, comme ça, sans raison apparente… La surprise et le choc furent tels qu’il se redressa d’un bond et  … rugit. Pas de cri humain outré, pas de pépiement d’oiseau, mais bien un gros rugissement de carnivore, de prédateur dangereux. Son père esquissa un demi sourire face à ses pupilles dilatés à l’extrême, et lui suggéra que, peut être, n’était il pas fait pour voler, finalement…




Le petit garçon a grandi, a pris des forces, en même temps que les coups, qui se firent de plus en plus rares, à mesure qu’il fut capable de les rendre. Ulrich est le premier né de sa génération de la noble famille Lischka d’Autriche. Il est devenu un jeune homme blond, à la stature plus qu’honorable, dominant son monde du haut de son mètre 90,  et à la carrure athlétique et affutée. Alors que son corps s’est développé, son caractère, quant à lui, s’est affermi ; les Lischka ne sont pas connus pour leur bonhommie, ni pour leur douceur, et Ulrich ne fait pas exception à la règle. Si il n’a pas un caractère explosif ou expansif, il est en revanche extrêmement froid, et d’un sarcasme si raffiné qu’il lui arrive parfois d’être confronté à des interlocuteurs qui ne saisissent même pas la subtilité de son ironie. Intellectuellement brillant, il a été poussé à la recherche de l’excellence dans tous les domaines depuis la plus tendre enfance, et ce perfectionnisme est à présent ancré dans sa chair, littéralement. Son charisme fait de lui un leader assez naturel, bien qu’il ne soit pas forcément à la recherche d’une popularité affichée. Non, il est plutôt du genre à préférer la solitude, en dehors de quelques amis stimulant intellectuellement, et quelques amuseurs publics qui peuvent lui tirer un sourire. Les filles ne sont pas vraiment sa priorité, mais il ne pourra vous nier être sensible aux charmes de la gente féminine : Le fils Lischka est un charmeur, et saurait montrer l’apparence d’un parfait gentleman pour obtenir les faveurs d’une demoiselle. En revanche, n’imaginez pas pouvoir lui mettre la corde au cou ; le souvenir d’une mauvaise expérience, quelques années plus tôt, a formé une gangue protectrice autour du cœur d’Ulrich, qui met un point d’honneur à ne plus s’attacher sentimentalement à ses conquêtes. Il prendra soin de vous, vous complimentera, vous protégera s’il le faut. Mais jamais son cœur ne sera votre. Jamais.

Concernant sa vie à l'école, le jeune homme est assez ombrageux; il a son groupe d'amis, mais ne cherche pas à asseoir une quelconque influence sur ses petits camarades. En revanche, son caractère sombre effraie les plus jeune, notamment parce que ses réactions parfois totalement disproportionnées; en effet, il lui ait arrivé de transformer des 1ères années trop bruyants en singes, ou d'enflammer la chevelure d'une jeune femme qui aurait renverser du thé sur un de ses devoirs. Pire encore, il ne semble n'être pris d'aucun remord pour ses agissements, et bien mal vous en prendra de venir lui réclamer des comptes. Pour Ulrich, les gens ne méritent le respect qu'après l'avoir aprement gagné. Que vous soyez un homme ou une femme, seul votre intelligence et votre répartie vous feront entrer dans ses bonnes grâces ... au moins temporairement.

‹ avatar souhaité:  Alex Pettyfer
‹ pseudo et/ou prénom :  Dio’
‹ notes/commentaire:  Vicky mon chou, je suis lààà !